Author: Alex Alexandre Sincennes-Dufresne

  • Get Ready for the Leadership Summit 2021

    Get Ready for the Leadership Summit 2021

    [vc_row el_class=”news-content”][vc_column][vc_empty_space height=”52px”][vc_single_image image=”9266″ img_size=”full”][vc_column_text]Read the full newsletter below

    April 20, 2021 | Get Ready for the Leadership Summit 2021[/vc_column_text][vc_empty_space height=”92px”][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

  • Carrières, apprentissage et rendement de la haute direction

    Carrières, apprentissage et rendement de la haute direction

    [vc_row el_class=”news-content”][vc_column][vc_empty_space height=”52px”][vc_single_image image=”9851″ img_size=”full”][vc_column_text]Lire le Bulletin d’information complet ci-dessous

    Mars 18 2021 | Économies anticipées pour le Sommet sur le leadership de l’APEX 2021[/vc_column_text][vc_empty_space height=”92px”][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

  • Careers, Learning and Senior Management Performance

    Careers, Learning and Senior Management Performance

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    March 18, 2021 | Early bird savings for APEX Leadership Summit 2021[/vc_column_text][vc_empty_space height=”92px”][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

  • Un regard nouveau sur la carrière de cadre supérieur dans la fonction publique

    Un regard nouveau sur la carrière de cadre supérieur dans la fonction publique

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    Un regard nouveau sur la carrière de cadre supérieur dans la fonction publique

     

    Arun Thangaraj

    Conversation de l’APEX avec :

    Arun Thangaraj, sous-ministre délégué de Transports Canada et sous-ministre champion de la Communauté nationale des gestionnaires

    L’APEX s’est entretenue récemment avec Arun Thangaraj, sous-ministre délégué de Transports Canada et sous-ministre champion de la Communauté nationale des gestionnaires, au sujet de la carrière de cadre dans la fonction publique dont la nature a évolué et du rôle essentiel que les dirigeants doivent jouer pour l’inclusion et le bien-être dans nos organismes.


     

    Par quoi se définit le succès d’une carrière dans la fonction publique pour la génération actuelle de dirigeants?

    Je crois que la notion de « réussite » a beaucoup évolué. Dans les dernières années, l’excellence, l’ambition et la volonté d’obtenir des résultats apportaient de la gratification à une personne, peu importe la situation. Aujourd’hui, notre concept de réussite est plus sophistiqué : les résultats comptent toujours, mais la manière dont ils sont obtenus est tout aussi importante. Si je me réfère à mon expérience de comptable agréé, je dirais que chacun doit chercher à exploiter ses actifs pour atteindre ses objectifs. Parmi ces actifs, se trouvent l’équipe et les ressources d’une personne, mais également la manière dont elle fait de l’inclusion un atout, dont elle incorpore le bien-être dans la culture de travail, dont elle utilise ces éléments comme des leviers importants de rendement.

    La COVID a été un déterminant majeur pour l’obtention de résultats extraordinaires dans la fonction publique, mais elle nous a également permis de mieux comprendre l’incidence de la santé mentale sur le personnel et le lieu de travail. Les pressions que subissent les gens – les événements qui touchent leur vie, leur santé et leur famille – sont très réelles, et nous ne pouvons pas obtenir ces résultats incroyables sans protéger également le bien-être des gens.

    L’appel à l’action du greffier pour la lutte contre le racisme, l’égalité et l’inclusion est un pas en avant crucial. Alors, comment accomplir de véritables progrès par rapport à ces objectifs?

    Je vais répondre à cette question non seulement en ma qualité de sous-ministre délégué, mais aussi en qualité de personne racialisée puisque je suis moi-même issu de la communauté des Indes orientales au Canada. Ces questions se posent depuis longtemps, mais la dynamique a maintenant changé. Je peux déjà constater une différence, car pour la première fois, nous parlons ouvertement de racisme et de discrimination. Nous voyons des sous-ministres et d’autres cadres supérieurs ouvrir le dialogue avec leur personnel à tous les échelons et écouter les fonctionnaires, des Noirs, des Autochtones, des femmes, des LGBTQ2+ ou des personnes handicapées, raconter de vraies expériences qu’ils ont vécues. Un changement de culture ne peut se produire que si l’on prend conscience de l’existence du racisme et de la discrimination et si l’on comprend vraiment les difficultés auxquelles les gens doivent faire face au quotidien et l’incidence de celles-ci sur eux. Beaucoup de fonctionnaires nous ont parlé des répercussions du déséquilibre des pouvoirs qui découle de la race ou du genre ou de la pression qu’ils ressentent pour dissimuler ou inhiber leur identité et se fondre dans la majorité et même du mépris dont sont imprégnés les messages codés, par exemple lorsqu’une personne complimente une personne racialisée, parce que cette dernière s’exprime bien. Je félicite tous les fonctionnaires à tous les échelons qui font entendre leur voix comme nous n’aurions pas pu le faire il y a encore quelques années.

    Or, nous ne devons pas nous arrêter là. Chaque dirigeant dans la fonction publique doit se poser la question suivante : « Que puis-je faire maintenant? » Le leadership commence par la conscience de soi. Il faut reconnaître les conséquences de nos paroles et de nos gestes sur les autres, et apporter nous-mêmes les changements qui sont nécessaires.

    Nous devons augmenter la représentation des femmes, des personnes racialisées et de toutes les autres personnes que nous avons longtemps exclues aux tables de direction, mais nous devons faire plus. Le mentorat et l’altruisme – s’aider les uns les autres à relever la barre – sont plus importants que jamais. Et il incombe à ceux d’entre nous qui occupent des postes de direction de créer cet espace pour les autres, et de montrer comment notre vraie identité, y compris notre race ou notre orientation, notre expérience vécue, notre éducation et nos croyances font partie de notre succès individuel et collectif pour le Canada.

    Avez-vous des conseils à donner aux cadres qui sont en train de bâtir leur carrière et de perfectionner leur pratique de leadership?

    Le meilleur conseil que je puisse donner est tout d’abord, d’apprendre à se connaître et à connaître l’influence que vous avez. Il y a toujours du temps pour l’apprentissage technique – cours sur un sujet précis ou autres –, mais il est essentiel d’avoir cette conscience de soi. Ensuite, il faut cultiver sa curiosité intellectuelle et poser des questions; cette compétence est sous-estimée, mais elle est essentielle pour apprendre et avoir une réelle influence comme fonctionnaire et véritable leader.

    Le greffier du Conseil privé, Ian Shugart, qui a eu une grande influence sur beaucoup de gens, insistait toujours sur le fait qu’il fallait se demander « pourquoi » : pourquoi cette chose devrait-elle être faite et pourquoi faut-il la faire de cette façon? Il se plaisait à dire que « les réponses se trouvent toujours dans les questions ». Je ne pourrais donner de meilleur conseil aux fonctionnaires d’aujourd’hui.

    Arun Thangaraj est sous-ministre délégué à Transports Canada. Au cours de ses 20 années de carrière, il a travaillé à Affaires mondiales Canada et à l’ancienne Agence canadienne de développement international, ainsi qu’à l’Office des transports du Canada. Il est originaire de Toronto et est un partisan inconditionnel des Maple Leafs.

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  • A New Look at Executive Careers in the Public Service

    A New Look at Executive Careers in the Public Service

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    A New Look at Executive Careers in the Public Service

     

    Arun Thangaraj

    APEX Conversation with:

    Arun Thangaraj, Associate Deputy Minister, Transport Canada, and Deputy Minister Champion for the National Managers’ Community

    APEX spoke recently with Arun Thangaraj, Associate Deputy Minister, Transport Canada, and Deputy Minister Champion for the National Managers’ Community, about the changing nature of public service executive careers, and the essential role that leaders must play to advance inclusion and well-being in our organizations.


     

    What defines a ‘successful’ public service career for today’s generation of leaders?

    I think the notion of ‘success’ has really evolved. In past years, you were rewarded for personal brilliance, for ambition and the drive to get things done, no matter what. Today, our concept of success is more sophisticated: results still matter, but how you achieve them is just as important. Speaking from my own background as a certified accountant, you look at how you leverage your assets to reach your objectives. That includes your team and your resources, but it also means how you leverage inclusion as an asset, how you incorporate wellness into your work culture, and understanding these as key levers for performance.

    COVID has been a big driver for some extraordinary results in the public service, but it has also taken us to a deeper level of appreciation for how mental health affects individuals and the workplace. The pressures that people are experiencing – what is happening in their lives, with their health and their families – is very real, and we can’t have those incredible results without also protecting people’s wellbeing.

    The Clerk’s Call to Action Call on Anti-racism, Equity, and Inclusion is a critical step forward – how do we make meaningful progess on these goals?

    I look at this issue not only as an Associate Deputy Minister, but as a racialized person myself, being from the East Indian community in Canada. These issues have been there for a long time, but the momentum has now changed. I can already see a difference because, for the first time, we are talking openly about racism and discrimination.We are seeing Deputy Ministers and other executives starting to engage with their staff at all levels, and listening to the real, lived experiences of public servants who are Black, or Indigenous, women or LGBTQ2+, and persons with disabilities. Culture change can only happen when there is an acknowledgement that racism and discrimination exist, and a genuine understanding of what people face, day to day, and how that affects them. We are hearing public servants talk about the effect of power imbalances because of race or gender, or the pressure to subsume or neutralize their identity to fit in with the majority, and even about the dismissive impact of coded language – like ‘complimenting’ racialized people for being ‘articulate’. I give huge credit to all of the public servants, at all levels, who are making their voices heard in ways that we could not, even just a few years ago.

    But it can’t stop there. Every single public service leader has to answer the question of ‘what can I do now?’ Leadership starts with self-awareness – acknowledging how our own words and actions affect others, and taking responsibility to change where it is needed.

    We do need to increase representation at leadership tables – of women, of racialized people, and all the others we have long excluded – but we need to do more. Mentorship and allyship – raising each other up – matter more than ever. And it is incumbent on those of us who have reached senior leadership positions to create that space for others, and to demonstrate how our authentic selves, including race or orientation, our lived experience, upbringing and beliefs, are part of the success we have achieved as individuals and for Canada.

    Do you have advice for executives who are building their careers and still developing their leadership practice?

    The best advice that I can give is, first, to learn about yourself and the impact that you have. There is always time for substantive learning – subject matter courses and the like – but having that sense of self-awareness is critical. And second, to cultivate your intellectual curiosity and ask questions; it is underrated as a skill but is essential to learning and having real effect as a public servant and a true leader.

    The Clerk of the Privy Council, Ian Shugart, who has had such a profound impact on so many people, would always insist that we ask ‘why’ – why should this thing be done, and why in this way? He liked to say that ‘the answers are always in the questions’, and I can think of no better advice for any public servant today.

    Arun Thangaraj is Associate Deputy Minister at Transport Canada, and, over his 20+ year career, has served at Global Affairs Canada and the former Canadian International Development Agency, as well as the Canadian Transportation Agency. He hails from Toronto, and is a passionate Maple Leafs fan.

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  • Le Sommet du leadership de l’APEX 2021

    Le Sommet du leadership de l’APEX 2021

    [vc_row el_class=”news-content”][vc_column][vc_empty_space height=”52px”][vc_single_image image=”9851″ img_size=”full”][vc_column_text]Lire le Bulletin d’information complet ci-dessous

    3 Mars 2021 | Sommet sur le leadership et la Cérémonie de remise des Prix d’excellence de l’APEX 2021[/vc_column_text][vc_empty_space height=”92px”][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

  • The 2021 APEX Leadership Summit

    The 2021 APEX Leadership Summit

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    March 3, 2021 | The 2021 APEX Leadership Summit[/vc_column_text][vc_empty_space height=”92px”][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

  • Édition : Les valeurs et l’inclusion

    Édition : Les valeurs et l’inclusion

    [vc_row el_class=”news-content”][vc_column][vc_empty_space height=”52px”][vc_single_image image=”9542″ img_size=”full”][vc_column_text]Lire la newsletter complète ci-dessous

    18 février, 2021 Édition : Les valeurs et l’inclusion| Values & Inclusion Edition[/vc_column_text][vc_empty_space height=”92px”][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

  • Values & Inclusion Edition

    Values & Inclusion Edition

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    February 18, 2021 | Values & Inclusion Edition[/vc_column_text][vc_empty_space height=”92px”][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]

  • Discutons carrière : Osons voir moins grand

    Discutons carrière : Osons voir moins grand

    [vc_row][vc_column][vc_column_text]Dans notre univers où tout est surdimensionné, il faut garder à l’esprit que ce n’est pas simplement parce que quelque chose est plus grand qu’il nous convient. Et d’après un certain nombre de cadres supérieurs travaillant dans de petites organisations de la fonction publique fédérale, cette observation pourrait bien être déterminante dans nos plans de carrière. Voici un aperçu des entretiens que l’APEX a récemment eus avec eux.

    France Labine, ambassadrice organisationnelle de l’APEX au Commissariat à l’information du Canada, nous a posé la question suivante : « Que puis-je faire pour que des cadres supérieurs talentueux à la recherche de nouveaux défis professionnels s’intéressent aux avantages qu’offre ma petite organisation? »

    C’est une question intéressante, surtout lorsqu’on sait que 70 % des nouveaux cadres supérieurs sont nommés à leur poste dans le cadre d’un processus interne, au sein de leur ministère d’attache (selon les Résultats du Sondage auprès des cadres supérieurs de la fonction publique 2019) et que 68 % des cadres supérieurs ayant répondu au Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux 2019 (SAFF) envisageaient de changer de poste dans les deux années à venir. Si les leaders songent à changer de carrière tout en restant au sein de leur ministère, peut-on conclure qu’ils ignorent les avantages des petites organisations? Et quels sont ces avantages?

    La culture est essentielle

    La culture organisationnelle peut faire toute la différence.

    Au moment où la fonction publique s’adapte aux réalités du virtuel et de la combinaison du travail à domicile et au bureau, on entend de plus en plus parler de nouveaux facteurs de mobilité professionnelle. Cela amène les employés à penser autrement à leurs propres actions et aux occasions qu’ils veulent explorer. En effet, il faut bien l’admettre, nous sommes nombreux à considérer nos options sous un nouvel angle. D’une part, il y a le travail que nous accomplissons et, d’autre part, la façon dont nous l’accomplissons, en tenant compte des paramètres que sont l’inclusion, l’empathie et un milieu de travail sain et respectueux. Dans un tel environnement, la culture organisationnelle est plus susceptible d’être satisfaisante pour les travailleurs.

    Le besoin de satisfaction est évident dans les résultats du SAFF 2019. En effet, les cadres supérieurs qui envisagent de changer de poste au cours des deux prochaines années sont à peu près aussi nombreux à vouloir rester au sein de la même organisation (36 %) que ceux qui veulent la quitter (37 %).

    Toutefois, si le changement implique une mutation latérale, 74 % des fonctionnaires préféreraient rester au sein de la même organisation. Cette proportion passe à 86 % dans les microorganisations. Et alors qu’en moyenne 75 % des employés de la FP estiment bénéficier d’un meilleur équilibre entre les aspects professionnels et personnels de leur vie parce qu’ils travaillent dans une petite organisation, ils sont 95 % dans ce cas lorsqu’ils travaillent au ministère de la Diversification de l’économie de l’Ouest. Ce portrait positif est complété par des pourcentages favorables en ce qui a trait à la satisfaction et au sentiment de valorisation au travail, à la reconnaissance significative, à la clarté des objectifs.

    Soutien et perfectionnement personnalisés

    Que font donc les petites organisations pour attirer et retenir les cadres supérieurs? La réponse brève est « beaucoup de choses ». La situation est plus complexe en fonction des mandats et des réalités opérationnelles, mais il reste que les petites organisations visent toutes à être plus agiles et souples pour mieux répondre à leurs propres besoins émergents et à ceux de leurs dirigeants.

    La plupart des organisations, même les plus petites, disposent de programmes ou de mesures de perfectionnement à l’intention des cadres supérieurs nouvellement en poste, notamment, le jumelage avec des cadres supérieurs en fin de carrière (cinq dernières années en poste).

    Bien que tous les cadres supérieurs avec qui nous nous sommes entretenus admettent que la formation officielle est intégrée aux processus de gestion du rendement, ceux qui appartiennent à de petites organisations sont prompts à souligner et à vanter le soutien personnalisé et plus direct dont ils profitent. Dans la plupart des organisations, on a recours aux autoévaluations et aux évaluations 360° pour lancer les entretiens sur le perfectionnement, et on tend à examiner de plus près le processus d’intégration des cadres supérieurs. Il s’agit en effet d’une occasion unique pour le dirigeant et l’organisation de discuter de perfectionnement, ce qui est à l’avantage de toutes les parties.

    Pour Danielle Dubé, ambassadrice organisationnelle de l’APEX à Finance Canada, il est avantageux de combiner les activités de réseautage officielles et non officielles même si elle a reconnu que les cadres supérieurs n’ont que peu de temps à y consacrer.

    Les participants ont également soulevé la question de la transition des cadres supérieurs d’expérience. Selon eux, ce processus pourrait être particulièrement difficile dans les petites organisations, car il y a moins de postes de dirigeants. Les postes de niveau EX-02, par exemple, y sont particulièrement rares.

    Pour William (Bill) Bedford, du Bureau du contrôleur général, les postes de niveau EX-02 sont des « postes licornes » – ni plus ni moins qu’un mythe. Par ailleurs, il a décrit ses propres mutations latérales comme des occasions d’acquérir de nouvelles compétences et d’être un agent de changement au sein de la communauté.

    Prenons notre carrière en main

    Bien que les organisations déterminent les postes qu’elles offrent, les employés ont beaucoup de pouvoir. Les cadres supérieurs sont encouragés à examiner de plus près les outils à leur disposition et à réfléchir aux éléments qui auraient le plus d’impact sur leur niveau de satisfaction au travail. France Guèvremont, membre de l’APEX et cadre supérieure à l’Association canadienne des sports pour aveugles (ACSA), nous a parlé d’un outil conçu pour permettre aux cadres supérieurs de comprendre les activités sur lesquelles ils peuvent agir.

    En mai, l’APEX lancera son nouveau Sondage sur le travail et la santé des cadres supérieurs, qui permettra de mieux comprendre l’environnement de travail des cadres supérieurs, notamment les aspects comme la culture organisationnelle et les heures de travail. Par ailleurs, les dirigeants voudront peut-être prendre connaissance d’un rapport paru récemment dans le Harvard Business Journal (Octobre 2020), selon lequel les cadres supérieurs passent 20 % plus d’heures à travailler et ont vu leurs activités de collaboration augmenter de 40 %. Ils sont à la recherche de possibilités de carrière qui leur permettront de se concentrer sur la productivité, d’être plus autonomes, d’acquérir plus de connaissances et de s’éloigner d’environnements de travail qui ne sont pas sains, où ils risquent de faire l’objet de microgestion. Tant les organisations que les employés recherchent des leaders qui possèdent ou peuvent acquérir des compétences pour diriger à distance.

    Si vous réfléchissez à vos options, n’hésitez pas à nous poser des questions sur les possibilités de perfectionnement et de jumelage avec des leaders chevronnés. Vous devriez également consulter les ressources en ligne de l’APEX, notamment nos conseils qui vous permettront de procéder à votre propre gestion des talents, nos fiches-conseils qui vous aideront à examiner vos options, telles celles offertes par Échanges Canada, et l’outil sur les meilleures pratiques présenté par l’ACSA.

    Si vous songez à faire un changement de carrière, prenez connaissance des réflexions de François Ducharme, associé directeur, Cognita Talent Inc., qui a fait une présentation à l’APEX sur les organisations prospères et les dirigeants auto-perturbateurs et qui encourage les cadres supérieurs à opter pour une approche de coaching « juste à temps ». L’accès à des conseils avisés en temps réels peut en effet contribuer à modifier les comportements et à orienter le perfectionnement personnalisé en fonction de l’acquisition de connaissances étendues et approfondies. Dans le cadre de vos réflexions sur votre style de leadership, n’oubliez pas de tenir compte de la gestion des équipes à distance.

    Et finalement, si vous faites partie des 68 % de fonctionnaires qui envisagent un changement de carrière, n’ignorez pas les petites organisations. Vous pourriez découvrir que cela vous convient davantage.[/vc_column_text][vc_column_text][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]